«C’était important pour nous, ce passage devant le tribunal, on avait besoin que l’erreur soit reconnue», glisse Fanny Dehaene. Encore meurtris par le drame qui s’est noué sous leurs yeux, il y a deux ans, dans un parc de Kemmel, à la frontière belge, Fanny et Sébastien Dehaene, qui vivent à Comines, en France, acceptent aujourd’hui de poser des mots…