Elle tape dans l’œil immédiatement, cette couleur violette qui habille tout le mobilier de l’exposition, comme une ponctuation, une adhésion aux codes du féminisme. Adoptée dès la fin du XIXe siècle par les Suffragettes, paraît-il. On remonte aussi aux époques lointaines dans la première salle, conclue sur les caricatures de Daumier («Les Bas Bleus», «Les Divorceuses», «Les Femmes socialis…