C’est un désastre qui frappe Nice et toutes les grandes villes depuis l’après-coronavirus : la consommation presque généralisée du «gaz hilarant». La substance, un drame pour la santé publique, entraîne tapage nocturne, pollution et développement des trafics criminels. L’État, très en retard, laisse les communes agir en première ligne. C’est le branle-bas de combat, comme chaque semaine du côté de…