La tension ne semble pas retombée. Jeudi, lors du dernier conseil municipal de Laventie, une quarantaine de personnes se trouvait dans le public, ce qui est assez inhabituel. En septembre dernier, ils étaient pourtant une cinquantaine, dont Thomas Segard, qui brandissait une pancarte «en mars, c’est nous qui voterons». «On est là pour montrer qu’on ne lâche pas, nous a-t-il…