Au jardin public, c’est un fantôme qui accueille les participants à la deuxième Zombie run organisée par le centre social et culturel. Et le fantôme, c’est Stéphane Grandin, son directeur. «On a des zombies affamés, on ne les a pas nourris depuis un an, ça va être atroce», prévient-il. Face à lui, un premier petit groupe avec trois vies accrochées…