Renverser et battre Marseille, leader au coup d’envoi (2-1), pour aller s’affaler à Metz (2-0), bon dernier quatre jours plus tard, c’est le paradoxe – à vrai dire un classique, ces dernières saisons – du RC Lens, mais aussi d’un championnat assez dingue. Le revers tabasse le crâne, mais il est sans grandes conséquences comptables, alors que six équipes se…