Perdre, c’est toujours douloureux. Perdre pour la onzième fois en treize rencontres, cela laisse une trace plus profonde encore. Dans ces moments-là, on se raccroche à ce que l’on peut, on fouille le match à la recherche d’un signe, d’une lueur, même quand l’exercice frôle l’obstination. Personne n’est heureux : ni les joueurs, ni le staff, ni les supporters, qui…