Quarante matchs de saison régulière sans compter d’éventuels play-offs. La N1, 3e échelon du basket français, est aussi interminable que coûteuse pour des clubs pas tous encore formatés pros (Salon, promu cette année, joue dans un gymnase), notamment ceux qui arrivent de N2. Conséquence: la plupart des promus, soit refusent l’accession, soit souffrent financièrement. Certes, la division reste …