Cette année 2025 avait pourtant commencé comme une promesse, presque comme une illusion collective. À Istanbul d’abord, où le SQBB s’affichait sans complexe aux côtés de Galatasaray. Puis à Pierre-Ratte, lors d’une nuit européenne suspendue: un play-in incandescent, des tribunes en fusion, cette sensation rare et grisante d’appartenir, pour de bon, à un autre monde. Une année qui s’ouvrait sou…