Une vingtaine d’avocats, sur les 28 que compte le barreau de Mayotte, se sont donc mobilisés et ont débrayé, en début d’après-midi, à l’occasion de la première audience en comparution immédiate. « On ne peut pas mettre tous les problèmes derrière Chido, il faut que l’on essaie de les régler. On aimerait qu’à Paris, à…