À Bois-Guillaume, « il a laissé sa victime pour morte » mais recouvre la liberté
«Je demande pardon à la victime, dit ce quadragénaire d’une voix posée devant la chambre de l’instruction. Je regrette. Je n’ai pas vu mes enfants depuis quatorze mois. Je n’irai voir personne, je ne veux pas de problème. J’ai travaillé toute ma vie, toute ma jeunesse.»Frondeuse à souhait et farouchement impertinente, la robe noire annonce…