Quand j’étais en Seconde, au lycée, j’avais une professeure de français qui ne pouvait pas, évidemment non, avoir cent-trois ans, mais c’était l’âge qu’on donnait à son visage de cire et à sa voix chevrotante qui débitait du Rabelais. Une fois qu’elle avait péniblement atteint l’estrade où se situait son bureau, elle faisait cours assise, voûtée sur un vieil exemplaire…