Le carnet de commandes était bien rempli et les engins très sollicités. Les drones allaient et venaient au-dessus des maisons d’arrêt de Nantes mais aussi de Fleury-Mérogis, du Mans ou encore de Poitiers, larguant de lourdes chaussettes en plein jour dans les cours de promenades ou nuitamment, directement aux barreaux des cellules. À l’intérieur, c’était au choix : téléphones, écouteurs, cannabis,…