C’est à Nantes que l’affaire prend racine. «À l’époque, j’étais à la rue depuis quelques mois», explique Arnaud C. Célibataire, l’homme de 54 ans n’est pas prioritaire pour un logement d’urgence. Alors, quand il réussit à récupérer les codes d’entrée du tribunal de commerce, il s’y réfugie pour dormir. Fin 2024, «j’y allais tous les week-ends», admet-il. Jusqu’à ce qu’une…