Depuis les hauteurs de Cardo, l’étang de Chjurlinu s’étire en silence, vaste miroir changeant au rythme du ciel et du vent. Entre roseaux, eaux calmes et lointaines rumeurs urbaines, ce fragment de nature rappelle la force discrète des zones humides de Biguglia, espace fragile, vivant, essentiel, où la lumière semble toujours s’attarder un peu plus longtemps. Si, comme Annick Medori,…